Les Fils de Quel'Thalas
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Univers Personnel - Les Chronique de Hautfort (2 nouvelles)

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Message  Atia Dim 27 Jan 2008 - 13:51

( voici une petite nouvelle se deroulant dans l'univers de fantasy que j'ai inventé. je n'ai helas pas pu presenter beaucoup de chose mais au moins la rivalité entre le royaume humain de valdrey et l'empire Djinn. je met quelque dessins pour montrer les personnages principaux.

Ademar de Valdrey
Areyn
Sélène
Simon
Armures elfes gris
Armure du royaume de Valdrey

L’émissaire.


Les dés usés roulèrent sur le petit plateau de bois. Les deux compères observèrent le résultat avec intérêt, deux petites pièces de fer trônait de chaque coté. Il était aisé de deviner la profession de ces deux joueurs, des gambisons de cuirs rapiécés, des épées rouillés, des poignards et des lances. Même sans être un expert le moins sage d’entre vous aurait reconnu des brigands. Ils arboraient fièrement une tête de vautour sur leurs écussons.

L’un d’eux se leva et jubila en criant : « 21 ! » l’autre observa les dés déconfit et regarda ces deux pièces de fer s’échapper pour finir dans la bourse molle de son compagnon.

« Je veux une revanche !
- D’accord, quitte ou double ?
- Vendu ! »

Une énorme montagne de muscles verts approcha alors suivit de deux silhouettes a la peau gris noir, les trois par ma foi étaient parfaitement hideux. Des orcs en verité. Le plus grand grogna et dit.

« Faite un peu de silence bande d’imbécile ! Comment voulez vous que nous surprenions des passant avec tout ce bruit !
- Il fait nuit, personne ne viens sur cet route la nuit, Ruak, se défendit un des humains.
- Le chef demande le silence ! D’après la fouine des gens vont arriver.
- Ce gobelin abuse trop de la boisson, il voit des gens partout. »

L’orc grogna et les humains se turent. Ils jetèrent un œil à leur chef. Celui-ci comme chacun s’y serait attendu portait un équipement de bien meilleur qualité que ces troupes. Un privilège de chef, a moins que ce fait fasse de lui un chef. Mais au fond le pourquoi du comment n’avait que peux d’intérêt comparé a la discussion que s’anima entre les deux joueurs.

« Dit Jean, tu sais comment les orcs sont apparut ?
- C’était des gobelins avant non ?
- Ouaip, c’était au temps de la deuxième guerre elfique, les elfes gris qui combattait les elfes sylvain, forcèrent des gobelins à s’accoupler avec des prisonnières sylves, cela a donné naissance au orcs rouille.
- Chanceux les gobelins, ricana Jean, elle sont plutôt appétissante les Sylves.
- Ouaip, tu te rappelles celle qu’on a violée l’an dernier ?
- Si je m’en souviens !
- Faudrait remettre ça.
- Je préférerai une alder cette fois. Les hautes elfes sont très belle aussi.
- Plus dur a capturer.
- C’est vrai… et ton histoire donc, comment les autres orcs sont apparut ?
- Les noir c’est quand un magicien accoupla des orcs rouilles avec des humaines. Plus grand et plus fort. Les verts par contre on ne sait pas, c’est Theliriel qui les a créé, il parait qu’il a mélangé les gros trolls avec des orcs noirs.
- Theliriel c’est le chevalier qui a conquis et exterminé la moitié du monde avec l’aide des dieux banni et d’orc c’est ça ?
- Ouaip il y a 2000 ans. Un sacré personnage… »

L’orc revint vers eux et leur grogna de prendre les armes car une troupe était en approche. Ils rangèrent leur dés et se mirent a couvert. Prête à bondir, la petite troupe de quinze hommes était tapis dans les fourrées. Des bruits de sabots approchèrent avec un autre bruit bien plus sinistre, celui d’un entrechoquement de métal. Et en effet, sur la route, une petite troupe de templiers. Ils étaient vêtus de leur belle armure de maille brillante et armés de lances, boucliers, masses d’arme et épées. Un bien trop gros gibier pour eux, le gobelin avait encore fait des siennes mais pouvait-on lui en vouloir, les gobelins sont des écervelés patentés…

Au cotés des cinq templiers, ils virent avec stupeur un cavalier entièrement recouvert des pieds à la tête d’une armure d’écailles d’aciers, un casque conique ciselé et un voile de maille devant le visage. Le cheval aussi était entièrement recouvert d’un carapaçon d’écailles et à en juger par le fin cimeterre et au bouclier rond au motif floraux ciselés, il n’y avait aucun doute possible. Un elfe gris. Mais qu’est-ce qu’un Djinn faisait ici ? Surtout avec des templiers ! Les elfes gris étaient connus pour leur mépris des autres races…

« Le spectacle vous plait ? demanda une voix derrière eux. »

Surpris, ils se tournèrent tous pour découvrir… Rien, absolument rien. Un rire retentis a coté d’eux, puis de l’autre coté, puis en face. Etait-ce là un spectre ou toute autre méchéance se jouant de leur sens?

« Simon, arrête donc de terroriser ces pauvres erres, dit une voix au dessus d’eux. »

Cet fois, la personne était bien visible, perché sur une branche portant une… Armure de plate ? Comment diable un homme vêtu d’une armure de plate grimpait au arbre et tenait sur une branche aussi fine ? bien qu’ignorant et stupide comme un brigand ce devait de l’être, ils en vinrent tous a la même conclusion, l’armure était en angelium, un alliage d’acier titanique du royaume d’Umardian et de mithril elfique. Un alliage aussi résistant que léger, le meilleur qui soit. Ce qui signifiait pour leur plus grand malheur que la personne au dessus d’eux était un chevalier du royaume de Valdrey. Ils en eurent la confirmation en voyant sur la tunique la croix templière rouge qui s’accotait avec un corbeau noir.

« Et que faisons nous d’eux sire ? »

Cet fois l’étrange voix fut identifiable quand du sol s’éleva une goûte noir, noir comme la nuit la plus profonde, s’élevant vers les cieux et se déforma pour créer une silhouette vaguement humaine. Les ténèbres se dissipèrent alors et apparu sous leur yeux médusé une créature sèche et maigre portant un masque de fer muni uniquement de deux fine ouverture pour les yeux. Cet être tenait dans ses doigts fins une épée brisée à la moitié de sa longueur mais le tranchant luisant sous la pale lueur de la lune leur révéla qu’elle était encore bien tranchante.

« Mon cher Simon, nous n’allons pas laisser des brigand hanter les routes de notre cher allié le royaume de Lysor.
- Vos désirs sont des ordres mon roi. Ricana Simon. »

Roi ? Étaient-ils malchanceux au point d’avoir le légendaire roi Adémar de Valdrey contre eux ? Une terreur s’empara d’eux, même le plus crétin des crétin écumant une des taverne de Concorda savait qu’a quinze contre Adémar de Valdrey c’était du suicide. Les bardes et les troubadours du monde entier chantait les louange et les exploit de se roi qui avait reçu des dons qu’aucun mortels n’avait pu espérer obtenir, excepté peut-être Theliriel…

« Simon, je t’en laisse deux, les autres je me les réserve, cela fait longtemps que je ne me suis pas amusé pleinement.
- Vous n’êtes pas très généreux mon roi… mais soit… »

La créature s’élança sur eux avec une vélocité terrifiante et une infinie agilité. Les ombres autour de lui s’agitait comme lui obéissant. Il choisi sa premier cible, l’orc vert qu’il trancha d’un coup vif. Une gerbe de sang jailli de la plaie béante mais au lieu de maculer l’herbe verte de sa douce teinte vermeille le liquide de vie fut attiré par l’épée comme par un aimant. La lame absorba le liquide car tel était le pouvoir de Vitae, l’épée qui fut forgé par un chevalier vampire de Sangueraid pour satisfaire son insatiable soif de sang. Ce vampire était mort a présent et Simon gardait l’épée comme un trophée, symbole de vengeance pour cet être que les vampire avait transformer pour devenir un tueur parfait. Ceci les brigands l’ignoraient et ils attaquèrent la créature avec toute leur détermination. Mais Simon semblait intuable tant il était rapide et agile tant et si bien qu’il tua son dernier brigand dans un mouvement d’esquive lui tranchant la gorge et prenant son sang qui vint rejoindre celui des millier d’autre que la lame contenait. Son contrat accompli il s’écarta d’un bond et alors qu’il se liquéfia rejoignant les ombres jonchant le sol nocturne il dit.

« Amusez vous bien mon roi, ils sont a vous. »

Adémar, fit un de ces sourire moqueur dont il était si coutumier et sauta de sa branche, atterrissant avec grâce sur le sol tout en dégainant Heldrassil, l’épée légendaire forgé au début du monde par le forgeron Iberon, une épée faisant même trembler les dieux.

« A nous messieurs, vous auriez du choisir une autre carrière. Vraiment. »

Les deux orcs noir, rugissant s’élancèrent sur lui. Adémar avec calme planta l’épée dans le sol et un épieu de roche jaillie de la terre empalant le premier orc, le deuxième continua sa course. Adémar pivotant sur lui-même sortie l’épée du sol et égorgea l’orc. Alors que le corps tomba a terre une lueur bleuté s’échappa du corps pour être dévoré par la lame qui s’éclaircie légèrement. Comme nombre de troubadour pourrait vous le chanter, il est bien connu que l’épée forgé par Iberon a partir de la résine fossilisé de l’arbre monde et de l’âme d’un ange déchu fut trempé dans le sang de toute créature vivante sur terre si bien qu’elle absorbait les âme et la changeait en énergie que le porteur de l’épée pouvait utiliser pour accroître sa force ou créer des cataclysmes comme cet épieu de roche.

« Plus que onze. A qui le tour ? »

Adémar grava doucement de la pointe de son épée une rune celtique sur le front de l’orc à ses pieds. Il prononça un mot et le cadavre se releva, se tenant avec un équilibre précaire à ses cotés. Il envoya le zombi attaquer ses ex-compagnons, ricanant puis pointa son doigt sur l’un deux. Un rayon de lumière lui traversa le crâne et avant que le corps et touché terre il s’élança sur eux. Il en trancha un puis deux. Un bras de ténèbre jailli d’une ombre sur le sol attrapa le bras d’un des brigands qui avait tenté de contre attaquer. Un deuxième bras jailli d’une autre ombre lui traversant l’abdomen. De plus en plus de bras de ténèbres attaquèrent alors que les flèches de lumière fusaient. Ils n’avaient aucune chance. Et durant se carnage Adémar riait comme un enfant écrasant des insectes. Il ne resta enfin plus que le chef et un dernier combattant qui tremblait de terreur. Le roi de Valdrey rengaina sa lame dans son fourreau et observa le chef. Le brigand restant en profita pour fuir.

« Tu es le chef, j’ai des projet pour toi. »

Il se jeta sur lui sans arme et frappa violement la paume de sa main contre le front de sa victime. Un globe bleuté fut éjecté du corps et flotta légèrement derrière celui-ci. Adémar regarda l’âme avec un sourire malsain.

« Tu va pouvoir observer ta mort de l’extérieur. »

Il écrasa le crâne du corps immobile au sol de sa lourde botte armée, le tuant d’un coup. L’âme se dissipa alors, terrifié par l’image qu’elle venait de voir. Plus loin le fuyard passa à proximité des templiers, l’un d’eux leva doucement la main, le chapelet d’argent à son poignet scintilla légèrement et les pierres au sol vibrèrent avant de partir telle des balles d’arquebuse sur le fuyard le perçant de part en part. Le templier ramena sa main sur la bride du cheval, nul ne fut surpris ou distrait c’était la un sort de base pour tout templier. Le cavalier elfe gris, imperturbable observa Adémar qui remonta sur son cheval, les yeux rouge du cheval indiquait se qu’il pensait déjà, la monture était lié a lui par un lien du sang. La légende était vrai donc, il utilisait la magie du sang et des ombres des vampires, la nécromancie de la déesse Morrighan et la magie de la lumière des anges. Un être curieux.

« Si sa majesté a fini de se divertir nous pourrons peut-être accéléré, la deesse-imperatrice Sélène n’aime pas attendre, dit calmement le djinn.
- Je sais et je vais me faire un plaisir de la faire attendre.
- Vous êtes la pour négocier et vous la provoquer ?
- Si tu connais tes classique tu sais que pendant la guerre de Paladempyr je l’ai vaincu en duel, elle ne me fait pas peur. »

L’elfe gris observa le roi avec ne point de colère. De la colère ? Non il n’avait pas le droit ! Les sentiments étaient prohibé dans son peuple, les sentiments quelque il soit. Mais comment pouvait-il rester de marbre face à un être comme Adémar ? Il était terrifiant… Encore un sentiment… Le djinn s’efforça de se calmer, il venait du peuple parfait, les elfes gris ne croient en rien, ne vénère personne car personne ne leur est supérieur. Les elfes gris n’éprouvent pas de sentiments car les sentiments sont une faiblesse, les elfes gris sont dévoués à la société parfaite qu’ils ont érigée. Une société ou chacun est a sa place en fonction de ses talent ou chaque couple est formé non pas pour de vulgaire raison sentimental mais en vue de perpétué l’eugénisme. Il en était le produit, ses parent avaient été choisi car ils avaient des talents se complétant et lui-même avait reçu une épouse qui se complétait avec ces talents et leur enfant était pris en charge par la communauté pour être formé a être de bon djinns. Non nul n’était supérieur a la race parfaite, pas même cet Adémar. Il devait garder la foi en sa chef et en la perfection de son peuple.

« Regardez, émissaire, face à vous vous allez découvrir le joyaux de ce pays, le monastère des anges. »

En effet, au loin se découpa le clocher du cloître. Le soleil levant inonda de ses rayons d’or les bâtiments fleuris. Le djinn soupira, déployer tant d’énergie pour un culte aussi stupide. Un jour un ange était apparut sur une croix celtique prêchant la foi du dieu unique et voila que tous arboraient une croix en guise de symbole religieux. Dans les terres du sud par delà le désert d’Al'Orsab l’ange avait prêché la même chose a des bédouins lors d’une nuit ou la lune formait un croissant et voila que les humains du sud avait une lune en guise de symbole religieux… pitoyable… D’un autre coté les djinns aussi arborait la lune comme symbole mais a cause de Sélène, l’impératrice était née avec trois croissant de lune sombre autour du nombril.


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Message  Atia Dim 27 Jan 2008 - 13:52

Ils arrivèrent enfin au monastère, il devait l’avouer le lieu était enchanteur, des cascades, des fleurs, des jardins somptueux, des fontaines, des sculptures finement travaillé et un cloître sublime. Mais l’émissaire fut frappé par quelque chose d’encore plus beau, la chose la plus belle qu’il n’avait jamais vue. Une femme, une femme vêtue d’un pantalon en cuir et de longue botte de cavalerie remontant a mi cuisse, elle portait un corset sur sa chemise blanche. Ses longs cheveux noirs flottaient dans le vent et son visage angélique était la chose la plus belle qu’il n’avait jamais vue. Elle semblait être sortie tout droit d’un rêve, comme si elle avait été créée de toute pièce. Un nom lui vint a l’esprit, Areyn, oui c’était elle, la connétable d’Adémar, une femme a la longévité d’un elfe, au corps d’une humaine, a la beauté d’une déesse et a la force d’une lionne. On disait même qu’elle avait des prédispositions à la magie. Adémar le disait lui-même, elle était une énigme, elle n’était d’aucune race et sa perfection tant en apparence que dans les faits la rendait bien énigmatique. Elle approcha d’Adémar de sa démarche féline.

« Tu es en retard, dit elle familièrement à son Roi, à la grande surprise du djinn.
- Des pillard sur la route, j’ai du m’en occuper.
- Ca se vois, dit-elle en plissant les yeux, amusée en observant la tunique couverte de sang du roi. Ta femme risque de te faire des remarques.
- Ce n’est pas évident d’être marié à une ange… surtout une serpahine. »

Areyn émit un petit rire cristallin et demanda des détails sur le combat avec les brigands. Adémar lui raconta avec moult détail émerveillant la connétable, elle était son élève et connaissait bien des sorts grâce à lui.

« Enfin trêve de bavardage, mon fils est-il la ?
- Oui, il flemmarde comme toujours. Je suis étonné que tu n’ais pas demandé à sa mère de venir.
- Sylvana doit s’occuper de son royaume et cette négociation concerne Valdrey et l’empire séléniens. »

Areyn acquiesça. Le djinn sourit, c’était vrai, Aedan le fils d’Adémar et de la reine Sylvana du royaume haut-elfe de Laverdwynn. Une histoire fascinante, la douce reine amoureuse du puissant roi essayait de s’attirer ses faveurs, mais celui-ci fidèle à sa femme ne succomba pas. Sylvana par dépit utilisa un sort pour se féconder à partir du sang d’Adémar et voila comment naquis Aedan. Pathétique au yeux du djinn mais Adémar aimait son fils et restait dévoué a sa plus fidèle amie Sylvana malgré ce geste. Cela lui avait de plus permis de s’allier au deux autre royaume haut-elfe, celui d’Evealynn et celui d’Aeliene. Le djinn chercha de l’œil ce fameux Aedan et le repéra dormant sur un banc, il était facile a repéré avec sa tignasse noir désordonné lui donnant des allures de lion. Un lion endormis.

« Areyn, présence d’un immortel ici ?
- Non, les vampires ne peuvent approcher ce lieu, les dragon craignent les templiers qui arrivent a les détecté même sous leur forme humaines, quand au dieux je ne peux rien affirmer mais tu sais mieux que moi comment les débusquer.
- A tu demander au fantômes ?
- Oui je suis allé dans le monde des morts me renseigner comme tu me l’a demandé, ils disent qu’ils n’y a aucune présence suspecte.
- Bien, méfions nous de Morrighan. Elle four toujours son nez dans mes affaires.
- Tu sais bien qu’il est impossible de se soustraire indéfiniment à l’influence des immortels. Ils tirent toujours les ficelles en coulisse. Tu le sais mieux que quiconque.
- Oui sauf que moi j’avais trop de marionnettiste pour tirer mes ficelles si bien qu’ils se sont emmêlés et les ont brisé. J’ai tiré profit d’eux et pas l’inverse. »

Areyn haussa les épaules quand du cloître apparut une petite femme aux cheveux argentés. Ses petites oreilles pointues et la pâleur presque cadavérique de sa peau indiquaient qu’elle était une elfe grise. Ce nom venait de cet peau si pale qu’elle en était presque grise et laissait voir de petite veine noir la ou elle était la plus fine, les djinns avaient les yeux naturellement cerclé de noir et les lèvres bleutée. Elle était vêtu d’un pantalon et d’une chemise bouffantes en soie transparente et portait un bandeau autour de la poitrine et un pagne de soie grise par-dessus le pantalon, le tout dans le but de cacher les zones indécente de son corps tout en exposant le reste. Une manœuvre de séduction qui hélas se révélerait parfaitement inutile en ce jour a cause de la présence d’Areyn qui elle seul, juste de sa grâce et de son visage suffisait a attirer toute les attention sans même avoir a se mettre en valeur. L’elfe grise haïssait cette femme. Elle, Sélène, la deesse-imperatrice des elfes gris qui se voyait occulté par cette créature sortie de nulle part, elle qui l’avait lors de la bataille du monastère terrassé alors qu’elle allait tué Adémar, lui brisant trois cotes au passage. Ho oui elle la haïssait. Adémar aussi elle le haïssait, ou peut être pas, une chose était sur il y avait une relation passionnelle entre les deux dirigeant, une rivalité maladive. Leurs deux nations luttant d’influence pour savoir laquelle seraient la plus puissantes. Adémar avait le dessus car était allié à tous les royaumes humains de l’ouest et était allié au trois royaumes haut-elfes ainsi qu’au royaume des elfes sylvains. Elle n’était allié a personne, les elfes gris étaient détesté de tous a cause des guerres elfique et des massacres qu’ils avaient perpétré mais aussi a cause de la peur et de la jalousie.

« Sélène, toujours aussi belle, dit Adémar en souriant d’un air amusé.
- Adémar, toujours aussi arrogant. »

Les deux rivaux se toisèrent avec défi. Les chevaliers du temple qui accompagnaient Adémar observèrent les chevaliers de l’hôpital qui accompagnaient Sélène en soupirant. La négociation promettait d’être colorée comme de coutume…

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Message  Atia Lun 24 Mar 2008 - 14:37

une deuxieme petite nouvelle mettant en scene cette fois Nassily une vampire:

Nassily


Le voile écarlate

Il arpentait le long couloir depuis quelques temps. Devant lui un homme de bonne stature vêtu d’un pourpoint rouge le guidait dans ce dédale. Le tapis de velours rouge sur le sol amortissait le bruit de ses bottes, c’était curieux, cette obsession pour cette couleur, même les tentures couvrant les murs de pierre noire l’arborait. Levant l’oeil sur les voûte il admira a chaque clef une étrange croix muni d’une hanse, un ankh. Ils finirent par déboucher sur une vaste pièce donnant sur une galerie remplie de miroirs. C’est dans cette pièce que son guide l’abandonna. Il resta un moment à admirer les œuvres d’art ornant la pièce, tableau, orfèvrerie, sculptures, une débauche de beauté.

« Je suppose que vous n’êtes pas ici pour regarder ma collection, dit un voix féminine venu de nulle part. venez, passez la galerie. »

Il fronça les sourcils et s’engouffra dans la galerie, le nombre de miroirs, en plus de témoigner de la richesse de la maîtresse des lieux, offrait un sentiment de vertige tant son image se refléter à l’infini. Au dessus des glaces ornées de cadres d’or, des myriades de voiles écarlates camouflaient les sommets des voûtes immenses, telle celles d’une cathédrale. Et c’est là, dans les reflet, qu’il l’aperçu, assise sur un trône d’or et d’argent orné de gemmes précieuses, une femme a la peau laiteuse dans une somptueuse robe de pourpre, de gueule et d’écarlate avec de long cheveux d’un profond noir de jais avec une frange surmontant des yeux ambes légèrement plissé par le sourire narquois se dessinant sur ces lèvres vermeilles. Il avance voyant son reflet a coté de celle de la dame mais soudain son reflet se mit a disparaître seul celui de la dame resta omniprésent alors qu’il avançait vers se trône qu’il voyait a présent réellement. Il arriva finalement au pied du trône, écrasé par la présence de la dame qui se reflétait tout autour de lui.

« Dame Nassily, je suis le chambellan Guillaume, au service du duc Hugues d’Ascalon, le seigneur de cette cité.
- Que désire tu Guillaume ?
- Mon seigneur est inquiet au sujet de votre maison, vos activités nocturnes, une série de disparition, il aimerait des explication, voir vous rencontrer directement.
- Votre seigneur me soupçonnerait-il de quelque chose de néfaste. Ce qui expliquerais la présence de l’inquisition a ces cotés.
- Le saint ordre de la lumière divine n’est en rien dans cette entreprise et n’as pas été convoqué dans cette affaire. »

Il observa la dame, il sentait un trouble, un grésillement dans son crâne. Il se massa les yeux puis regarda a nouveau la femme, ses yeux semblaient briller d’un éclat étrange. Il fronça les sourcils et fixa la femme dans les yeux, les pupilles rondes des yeux ambes se fendirent soudain comme des yeux de chat et un choc violent frappa l’esprit du chambellan qui tomba a genou.

« J’ignore ce qui a changé chez ton seigneur, j’ignore ce qui a brisé le charme que j’avais posé sur lui mais la trahison ne sera pas impuni. Et toi, misérable insecte, tu seras l’épée de ma vengeance. »

Elle saisi un calice d’argent et de ses longs crocs effilé s’entailla le poignet, elle laissa la sang couler dans cet luxueuse coupe. Une fois le calice remplie, elle referma la plaie d’une pensé et jeta la coupe devant l’humain. Curieusement le sang resta statique dans le calice, comme figé, car croyez le, pas une goûte ne s’échappa quand la coupe rebondis au sol. Guillaume observa cela étonné et, sans le vouloir, les deux yeux emplissant son esprit comme un parasite, il se saisi de la coupe et but avec avidité. Le sang, tel un acide, lui brûla la gorge et les veines provoquant un cri d’agonie au chambellan qui se convulsa à même le sol. Mais, curieusement, juste après avoir fini la coupe un étrange sentiment l’envahi. Un sentiment de bien être, il se sentait plus fort, plus agile, ses sens étaient exacerbé a un point tel qu’il entendait les insectes se déplacer sur la pierre, sentait la moindre aspérité du sol, était enivré par l’odeur du sang dans sa bouche. Il s’agrippa au calice léchant avec avidité l’intérieur voulant plus de cet élixir a la fois si douloureux et si bienfaiteur. Nassily se mit a rire en voyant cela, les mortels étaient si faible, un once de pouvoir et les voila devenir fou et totalement sous son pouvoir, plus il en réclamait plus il succombait a elle.

Il la fixa, observait ces lèvres, ses beau yeux, se corset qui comprimait sa divine poitrine gonflé, la fine étoffe qui épousait le galbe de ses hanches. Il l’aimait, il l’aimait. Il se mit à ramper vers elle comme un animal servile. Il grimpa les marches à quatre pattes ne pouvant détacher ses yeux de cette silhouette écarlate. Elle l’arrêta de sa bottine contre le front.

« Il suffit, il est temps de me montrer a quelle point tu m’aime, va revoir ton maître.
- Oui ! Oui ! dit il comme un dément. »

Il se redressa et se mit à courir à une vitesse folle a travers les couloirs, était ce un autre effet de cet élixir rouge ? De sa vitesse surhumaine, il ressorti du manoir et déboula dans la rue. Dans son crâne résonna la voix de la dame rouge.

« Calme toi ! Marche paisiblement, la nuit est encore longue, ne soit pas si pressé. »

Il se mit a marché, obéissant aveuglement a la voix de Nassily. Il arpenta les rues, se délectant de ces sens qui lui faisait redécouvrir la cité, notant chaque détail d’un œil nouveau. Même le château de son seigneur avait une nouvelle image, il entendait même le cœur des gardes battre, c’était irréaliste.


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Message  Atia Lun 24 Mar 2008 - 14:38

(la suite...)

« Haaa te revoilà Guillaume, a tu des nouvelles ? Demanda le duc une fois à l’intérieur de la grande salle du château.»

Le seigneur était assis à son bureau de bois précieux, à ses cotés se tenait un homme vêtu d’une tunique blanche avec une épaisse cape rouge, ses vêtements étaient frappés d’un soleil d’or et sous sa tunique il portait un long haubert de maille. Cet homme avait un visage dur et anguleux, gâté par les ages portant de cour cheveux blancs et une fine barbe. De chaque coté de la pièce deux chevaliers avec haubert, gambison et armes, portant la même tunique que le vieille homme. C’était trois chevaliers de l’ordre de la lumière divine.

« Guillaume, parlez ! Ordonna le vieux chevalier. »

Le grésillement dans le crâne de guillaume repris de plus belle et son esprit sembla envahi par une présence écrasante. Son corps ne lui obéissait plus, il avança tout seul et sembla spectateur de ses propres actions.

« Nassily de la maison du voile écarlate est-elle bien une abomination au yeux du créateur tout puissant ? dit sèchement le vieille inquisiteur.
- Oui, dit Guillaume sans le vouloir.
- Vous voyez Hugues ! La grande prêtresse avait raison, il faut purger ce nid d’abomination ! Brûlons ces monstres.
- Une minute, dit Guillaume une fois de plus sans contrôler ses mots. Elle a un message pour vous. »

Le vieux chevalier fronça les sourcils et observa Guillaume dans les yeux. Les yeux gris du vieil homme se plissèrent et il fit un signe discret à ses deux hommes qui devinrent nerveux.

« Ho mais vous semblez plus perspicace que je ne l’aurait cru stupide mortel, annonça Guillaume.
- Je sens ta corruption dans le corps de ce pauvre homme démone !
- Qu’importe, mon message sera simple et cours : vous allez mourir et toi Hugues j’ignore comment tu t’es extirpé a mon emprise mais ta liberté sera de courte durée. »

Les deux chevaliers se jetèrent sur lui mais ils s'arrêtèrent soudain tombant au sol et convulsant, hurlant de douleur. Leur peau se roussie et des cloques apparurent alors que les veines noircirent sous la peau. Leurs hurlements s’achevèrent quand toutes les veines du corps explosèrent dans une vapeur rouge.

« Mais que ?! Hurla de terreur le duc.
- La dame a fait bouillir leur sang… que le créateur accueil les âmes de ses malheureux parmi ses fidèles.
- Blablabla… Pathétique petit mortel, vos supplications ne vous sauverons pas ! »

Le chevalier saisi sa lame et se jeta sur le chambellan, le vieil inquisiteur était insensible a la magie impliquant son propre sang, trop vieux, trop entraîné. L’épée siffla l’air et le chambellan ne bougea pas se contentant de parer avec son bras dénudé qui fut tranché sur le coup mais évita à la lame de le tuer. L’inquisiteur observant son adversaire un brin déconcerté et repassa a l’attaque mais le sang sur sa lame rongea soudain la lame qui disparu presque instantanément.

« Par les saintes paroles de l’archange… »

Guillaume se mit à rire et désigna le vieux chevalier du moignon sanglant lui servant de bras droit. Le sang jailli soudain sur l’inquisiteur, brûlant et décomposant les vêtements, la cotte de maille, la chair et les os, il se liquéfia littéralement.

« Tu vois Hugues, tu aurais du rester mon esclave.
- Je suis le duc de cette cité et le deuxième seigneur du royaume de Lysor après le roi, tu… Tu ne peux rien contre moi…
- Tes titres ne sont rien, tu n’es qu’un calice de sang et un jouet entre mes mains. Tu ne m’amuses plus. »

Le duc écarquilla les yeux de terreur et se mit a courir mais en vain, le sang jailli a nouveau de la plaie béante et se solidifia formant un épieu qui éperonna le duc. Le sang redevint liquide tandis que le corps de Guillaume, vidé de son liquide vital, s’écroula. La présence dans son esprit s’évanoui et ses sens, jadis exacerbé, faiblissait en même temps que ces forces. Il ne comprenait pas, son aimé l’avait trahis ? Mais en vérité pourquoi l’aimait-il, c’était la première fois qu’il la voyait…

Les yeux ambre s’ouvrirent soudain. Elle se massa doucement les tempes et se leva de son trône d’or. Le pantin de sang était mort, mais qu’importait, elle en avait des centaines d’autre comme lui qu’elle pouvait tous manipuler ainsi instantanément. Et après tout cette marionnette avait accomplie sa mission.

Il y avait donc une prophétesse qui avaient libéré le duc de son emprise et alerté l’inquisition. Qui pouvait-elle être ? Une autre vampire n’aurait jamais alerté l’inquisition et n’aurait pas fait l’erreur d’envoyer un émissaire s’assurer de sa présence. Une déesse peut être mais c’était peut probable, les dieux détournait les gens par des miracles et des cultes, grossissant leur rang déchaînant au final leur force. Ca ne laissait plus qu’une possibilité, une dragonne. Mais de quel élément ?

Elle haussa les épaules et avança dans les couloirs flottant doucement au dessus du sol. Pour avoir la réponse, elle connaissait la personne idéale. Elle arriva face a une petite grille au sol mais ne l’ouvrit pas, au lieu de cela, elle se liquéfia en une informe masse de ténèbre pur, se glissant entre les barreaux, coulant dans la pièce en contre bas. Là, la flaque noir se mut et s’éleva reprenant la forme de la vampire qui réapparut dans de petite volute d’ombre. Cette cave exhalait une odeur infecte de sang séché, d’excrément et de chair putréfié. Tout autour des cages hérissées de pointes vers l’extérieur, des instruments dont l’imagination ne permettait a peine de deviner les usages et sévices qu’ils infligeaient. Parmi cette collection impie, une créature voûtée tenant une lance se recroquevilla dans un coin à l’apparition de ça terrible maîtresse. Elle ne lui prêta pas un regard, pas plus qu’aux prisonniers gémissants enfermé dans quelques cages éparses. Elle s’avança uniquement vers la fosse au centre, fossé couvert par une voûte d’épais et puissant barreau d’acier hérissé d’épieux et entouré de barbelé. Elle marcha jusqu’au bord de la fosse afin de regarder la terrible créature qui gisait la au fond. Il y avait un homme nu couvert de tatouage et le corps percé d’anneau et de tige d’acier, une mode courante des gens de sa race.

« Ivan ! dit elle d’une voix forte, réveil toi, j’ai besoin de tes service ! »

L’homme en bas leva les yeux vers elle puis se dressa, fier et droit, presque arrogant. Il la fixa sans dire un mot de ces yeux bleu clair.

« Détecte moi qui ose s’aventurer sur mon territoire et me défier ainsi sans vergogne ! »

Un sourire ce dessina sur le visage du prisonnier. Il ne bougea pas continuant de la défier du regard.

« Obéis chien ! »

Il grogna et se jeta au sol, son corps enflant et se gonflant. Les formes de son être se tordirent et se déformèrent alors qu’un pelage se mit à couvrir sa peau. Le nez s’allongea en un museau, les doigts devinrent des griffes et sa taille augmenta pour a dépasser deux mètres et sa masse quadrupler de volume. Le loup-garou se redressa a nouveau et huma l’air a la recherche de magie. Comme tout lycanthrope, il avait soif de magie et pour s’en apaiser il dévorait l’âme et la chair des magiciens prenant une partie de leur pouvoir. En bon prédateur ils pouvaient sentir la magie où qu’elle se trouva.

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Message  Atia Lun 24 Mar 2008 - 14:38

( La fin ...)

« Alors ? Que sens-tu Ivan ? »

Il repris sa forme humain dans un grognement et assis en tailleur sur la pierre froide de sa fosse lui dit :

« Il y a deux magiciens haut-elfe qui sont arrivé en ville, je veux les dévorer, cela constituera le payement a ce que je vais te révéler petite suceuse de moelle.
- Si ils ne sont pas couvert par l’immunité diplomatique tu les aura, alors dit moi, petit chiot qui me défi ?
- Une dragonne, son élément est l’air, dommage pour toi, ce n’est pas une proie facile pour une non vivante comme toi, amuse toi bien petite suceuse et n’oublie pas mon payement. »

La vampire grogna et s’éloigna de la fosse, il avait raison l’air n’était pas l’idéal, les dragons de feu utilisait souvent la combustion dans les cellules vivant pour incapacité leur cible ce qui était inefficace sur une morte, ceux d’eau ne pouvaient rien car le sang immortel était inaltérable par leur pouvoir. L’air par contre… Il allait falloir qu’elle remplisse chaque cavité et orifice de son corps par du sang pour éviter que la dragonne ne la fasse exploser à partir de l’air en elle. Cela allait être une lutte bien désagréable mais finalement facile, même sans avoir recours a ces fils et filles de la nuit qui vivaient en cet cité.

Elle repassa par la grille sous sa forme d’ombre et alla vers un autel où figurait un ankh noir inversé entouré de glyphes donnant une impression de soleil. Elle s’agenouilla et pria Caïndal, le dieu du sang et de la nuit, le premier vampire, l’être le plus puissant du monde rivalisant avec le Créateur et le Blasphémateur. Ceci fait, elle décida d’aller se nourrir, elle s’était fatigué cet nuit et aurait besoin de bien des forces dans la lutte a venir. Ses crocs s’effilèrent à pensant à son prochain repas. Elle avait faim.

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