Merynos Heavenhope vous salue

Informations techniques :

Prénom : Merynos
Nom : Heavenhope
Surnom : La vipère
Raison du surnom : Il se détend comme le serpent qui mord quand il frappe
Race : Sin'dorei
Age : Inconnu. Adulte
Spécialité : Corps a corps
Alignement : Neutre

Caractéristiques physiques :

Taille :  1m84
Corpulence : Finement musclé
Couleur de peau : Halé
Couleur de cheveux : Noir corbeau
Couleur des yeux : Vert
Vision (port de lunette) : Excellente vue
Gaucher ou droitier : Droitier
Etat de santé (problème passé, présent ou à venir) : Quelques blessures passé, mais rien qui ai une influence régulière


Description :

Elfe assez classique d'un point de vue visuel, si l'on excepte ces oreilles courte, malgré qu'il ne soit pas métis. Il a une démarche et une attitude assez désinvolte, mais que l’œil expert pourra identifier comme une simple manifestation de confiance. Pour un guerrier, il ne dispose pas d'une imposante musculature, indiquant qu'il ne mise pas sur la puissance physique ou la force, mais sur la vitesse et l'adresse. Il a un certain nombre de cicatrices sur le corps, mais aucune au visage !

Profession et savoir-faire :

Principalement les tâches d'infanterie. Formé comme beaucoup dans les casernes de Quel'thalas, il y a acquis le savoir-faire de son peuple dans le combat d'infanterie. Apte a manier la lance et l'épée combinés au bouclier, il excelle davantage dans l'escrime rapide, avec un bocle par exemple. Toutefois, il est d'une nullité affligeante avec les armes a distance.

Il a une certaine débrouillardise en survie et dans les langues

Background :

Merynos n'est pas très expansif sur son passé. En général il le résume sobrement en expliquant qu'il c'est toujours battu.

Ces débuts sont très simple. Jeune homme, il intégra l'armée, ou il fut formé, effectuant les tâches habituelle des soldats. Patrouilles, gardes, escarmouches avec des trolls. Rien de bien folichon qui mérite de s'étendre dessus !

Il n'y a qu'avec la venue de la première horde que l'elfe, plus un jeune homme désormais, "entre en scène". Participant a de nombreuses batailles avec l'alliance de lordaeron, il s'endurcit, récolte ces premières vraies blessés, et se lie d'amitié avec des humains et des nains. Assez ouvert, chaleureux et avide d'expériences, il n'a aucun mal a se lier d'amitié avec les alliés. Amitiés forgés et solidifiés autour des feux de bivouac ou dans la fureur des batailles. La fin de la guerre le ramène a la maison, pour le mariage de son frère.

Le répit fut de courte durée, car Amanis et orcs forgèrent une alliance et ravagèrent Quel'thalas lors de la deuxième guerre, ramenant l'elfe sur le champ de bataille, pour défendre sa patrie. Cette guerre, coûteuse en vie, dévastatrice, lui vola son frère. Elfe d'honneur, Merynos assura dès lors la subvention de sa belle-famille, pour compléter la pension qu'elle touchait pour la mort de son frère. Cela dit, ces pensés commençait a se tourner au-delà des frontières de son pays bien-aimé.

Les années qui suivirent furent plus calme pour lui. Reprenant le train-train routinier de la caserne, il suit de loin les événements qui se déroulent de part le monde, grâce a une abondante correspondance qu'il entretien avec les amis nains et humains qu'il c'est fait lors de la guerre. Il sera atterré lors de la rupture de l'alliance de Lordaeron, mais tiendra sa langue, en bon soldat.

Encore grâce a ces amis étranger, il apprendra les macabres évènements se déroulant en Lordaeron, mais astreint a son pays, il n'y prendra pas part, jusqu’à la sinistre invasion de Quel'thalas. il combattra tout du long, avec autant de bravoure que possible, même face aux elfes relevés, mais, comme tous, sera refoulé, de porte en porte, jusqu'a son dernier affrontement, avec le général Coursevent, ou il sera gravement blessé et fort heureusement évacué vers la cité. De la, il ne fera plus rien, sauf se remettre. Il souffrira un peu moins que d'autres de la perte du puit, car son état du moment était proche du coma. Cela dit, il le ressentit profondément dans son esprit.

Merynos passant presque deux ans sans pouvoir combattre. Ces blessures, cumulé a son affaiblissement dut a la perte du puits a un moment critique pour lui, ne l'aideront pas. Il passe donc ce temps a étudier et apprendre d'autres moyens de se battre, et finis par se tourner vers la magie démonique. Il passe ainsi de nombreuses années, même après être guéri, reclus au Magisterium, a étudier, a parfaire son art pour ....finalement abandonner, a la moitié de sa formation. Ecoeuré par diverses décisions des siens, il récupère son armure, ses armes, et prend la route, partant vers les royaumes Humains

Les années suivantes sont assez trouble. Merynos rejoignit ces anciens camarades humains et nains, et intégra une franche compagnie, pratiquant le mercenariat  durant ces temps trouble, on le verra en Norfendre, ou sa troupe, sous contrat avec la Croisade, luttera bravement contre le fléau jusque sous les murs de la Citadelle de glace.  Le Cataclysme le verra encore sur le front, cette fois au coté des nains Marteau-hardis des Hautes-terres du crépuscule, puis on le perd de vue et il ressurgit avec ces compagnons au mont hyjal ou il affronte les sbires de Ragnaros.

La compagnie ne sera pas vue pendant la campagne de Pandarie. Elle agira sur les terres humaine et naine, s'occupant de diverses menaces secondaire. En revanche, on le verra au coté des forces coalisés lors du siège d'Orgrimmar, ou il prendre un plaisir manifeste a tailler en pièces les fidèles de l'orc fou, puis reviendront a leurs missions interne lors de l'amorce de la campagne de Draenor. Ils ne rallieront le combat lointain que quand les portails seront ouvert vers Fer de lance, et suivront, de la, l'armée lors de ces batailles contre la horde de fer, et ce jusqu’à la victoire, qui leur coûtera de nombreuses vies. A peine le temps de souffler et reformer quelque peu leurs rangs dégarnis, et la Legion arriva, et la compagnie repris du service, tant bien que mal, malgré la lassitude, face a la plus grande menace qui soit. Faisant partie de la deuxième vague, ils lutteront principalement en Azsuna, puis dans les profondes forets des elfes, pour finir par lutter dans la cité magique de Suramar. Cette guerre fut le coup de grâce pour la compagnie de mercenaires. De trop nombreuses pertes, la morts de plusieurs de leurs leaders, et la fatigue de la plupart firent qu'il n'en reste qu'une poignée, les plus anciens, dont Merynos, qui perdura quelques temps mais ne pris pas part aux combats entre la horde et l'alliance, préférant honorer leurs disparus et effectuer de menus tâches de pacification sur les terres des leurs.

Et puis vint la faille. A ce stade, Merynos était redevenu indépendant, effectuant de petites missions de ci ce la en solitaire, jusqu’à faire halte a la Chapelle de l'espoir de Lumière en revenant de l'une d'elle, et de tomber sur un ordre militaire thalassien bien connu et sa blonde chef a la verticalité contrarié

Ce qu'on dit de lui/elle :

Ces camarades disent que c'est un guerrier adroit, un escrimeur rapide et sournois, mais surtout un compagnon d'une loyauté absolue
Sa belle-famille qu'il est dévoué au-delà de ce qu'ils aurait pu imaginer, et que sans son soutien indéfectible, leur vie aurait été plus difficile

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