un bien sombre nouvel allié

Un homme mystérieux arrive devant la taverne du Dragonfaucon, il est affublé d’un long manteau à capuche, d’un rouge sombre et démoniaque. Une odeur de souffre et une forte chaleur émanent de son corps. La capuche de son manteau assombrit son visage, mais laisse tout de même entrevoir des tatouages sur sa peau. Il s’arrête devant la taverne et dit en levant la tête vers l’enseigne.

Finalement tes prédictions étaient bonnes stupide mage, quoi que je fasse, mes pas me ramèneront vers ma destiné. Enfin bon, allons retrouver les miens…

Il ouvre la porte dans un grincement sinistre, scrute les environs en essayant de discerner les personnes présentes dans cette atmosphère quelque peu brumeuse. Après quelques hésitations, il s’avance vers le bar et s’y accoude, puis avec hésitation demande d’une voix rauque.

Bonsoir, servez moi se que vous avez de plus fort, s’il vous plait.

Puis il se retourne et inspecte de nouveau la salle. D’un air intrigué, les personnes présentes essaient de voir qui se cache sous cette sombre capuche. Après quelques secondes, il refait face au comptoir en attendant son breuvage.

Un grand homme, svetle et blond, arrive dans la salle. Il semble appartenir à la race humaine, si ce n'était son visage un peu trop fin et une aura étrange qui semble l'entourrer. Méfiant vis à vis du nouvel arrivant, suspectant un démoniste ou quelque chose de pire encore, il l'apporstrophe assez froidement.

Salut à toi, étranger...

Quel vent amène un voyageur comme toi en ces lieux?

Et il toise le visiteur, comme pour mieux le jauger.

L’homme a la capuche fixe de ses yeux sournois, le nouvel arrivant, et lui répond d'un air non chaland.

Disons que se sont mes pas, et quelqu’un d’assez agaçant, qui m’ont amené ici.

Il se lève, hume l’air autour de l’étranger et se met à sourire, puis après quelques instants, il rétorque.

Hum …Bien que tu es l’air humain, ton odeur me paré être celle d’un elfe si je ne me trompe.

Puis d’un ton plus dur, tout en froncant les sourcils, il ajoute.

Si ce n’est le cas, il vaudrait mieux pour toi, que tu sache courir vite humain!!!

Une femme est assise dans le coin le plus discret de la pièce .On pourrait la croire humaine si ce n’était ses yeux d’un bleu un peu trop vif et ses cheveux un peu trop blond .
A la vue de l’étranger elle est devenue très pale , elle a rabattu la capuche de son manteau sur son visage
Lorsqu’il se retourne pour inspecter la pièce , elle aperçoit ses tatouages …elle sursaute , étouffe un cri de sa main blanche…. elle l’observe…

Tu semble posséder de nombreux sens très développé, voyageur. Mais en quoi, si par malheur j'étais humain, mériterai-je une quelconque menace de ta part?

Sache que si tu es venu ici pour chercher des ennuis, tu es mal tombé, étranger. Nous n'aimons guère que notre paix soit troublée par des inconnus.

Syldur darde un coup d'oeil rapide à Clemanas et Anariël, impassible, puis revient au voyageur.

L’étranger se lève faisant face maintenant à Syldur. De sa main droite, il enlève délicatement sa capuche, dévoilant ainsi son visage. Et répond d’un ton calme et posé.

Je ne suis pas venu ici, pour vous chercher querelle, mais dans le seul but de retrouver mes frères de race. Sache que les humains ne sont pas les seuls être que je ne puisse pas supporter en ce monde. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’ils nous ont trahi. Dernière chose, je ne suis pas ici de mon plein gré, disons qu’un certain mage du nom D’Alricus, m’a montré le chemin et m’a parler de vous, les Fils de Quel’Thalas. Si vous le souhaitez, je vous prêterai main forte, mais ne me demandé pas d’avoir de la compassion pour les compatriotes de Garithos.

puis il en regardant une nouvelle fois autour de lui, il reprit

Mais avant continuer, j'aurai aimer savoir, qui vous êtes exactement ?

Au nom d'Alricus, Syldur palit.

Frères de races... Alricus... Serais-tu un Quel'Dorei, toi aussi?

Syldur toise un moment l'étranger, comme s'il espérait pouvoir voir au travers de ce déguisement magique...

Ainsi tu cherches tes frères... Oui, tu as frappé à la bonne porte. Nous sommes bien les Fils de Quel'Thalas... Nous avons presque tous rencontré ce mystérieux Alricus, aux heures les plus sombres que notre peuple ait connu... Beaucoup nous confondent avec les Elfes de Sang, et nous croient aussi extremistes qu'eux... L'entrée des Kaldorei dans l'Alliance n'a pas aider à atténuer les méfiances envers notre peuple, voilà pourquoi la majorité d'entre nous se cache derrière ces déguisement... Comme toi je crois? D'où viens-tu, frère...? Qui es-tu? Tu es apparement l'un des chanceux à avoir réchapper au courroux du Fléau mort-vivant... Comment as-tu rencontré Alricus le mystérieux?

Sache, mon frère, que tu ne devrais pas comprarer tous les Humains à Garithos. Certes, cet imbécile a bien mérité sa perte, pour ce qu'il a causé à notre peuple *darde un coup d'oeil compatissant à Anariel*... Néanmoins, ils ont toujours été nos alliés, nos voisins, avec lesquels nous avons pu lutter contre les trolls et les autres menaces qui ont plannées sur notre royaume depuis longtemps... Si tu avais connu Jaina Proudmoore, tu aurais peut-être une autre opinion de l'humanité... qui est très difficle à juger en un tout.

Si Quel'thalas est en cendre, c'est par notre faute... L'orgueil a aveuglé le Conseil de Silvermoon qui a quitté l'Alliance! voilà la cause de notre défaite, la cause de notre génocide, la cause de notre exil, frère.

... alors avant de critiquer l'orgueil de ton voisin, regarde ce que le tien à fait à ton peuple, Quel'Dorei.[/i]

A cela Armitryon répond.

Je m’appelle Armitryon, mais mon vrai nom est Sifrus Ragecoeur, sorcier et maître du Feu (mage), je fut un lieutenant du prince Kael’Thas, jusqu’à la bataille de la tour d’Icecrown eu je fut porter pour mort.

Puis d’un air pensif, se frottant délicatement sa barbe, reprend.

Disons, que je suis quelque peu extrémiste, tout comme mes frère Elfes de Sang, il est vrai que tu as raison sur ce plan là. Mais la confiance se gagne et pour l’heure les humains non pas encore gagnés la mienne. Vois tu je viens de Silvermoon, lorsque celle-ci fut détruite, seul mon fils et moi fument sauvé. Ma femme et ma fille, quant à elles n’eurent pas la même chance. Mon fils était tout ce qui me resté et il fut tuer par des humains, que l’on avait aidé, dans les donjons de Dalaran.

Puis il lève de nouveau la tête, esquisse un léger sourire et réplique.

Maintenant je comprends pourquoi le mage à conduit, une personne aussi souiller que moi par ces crimes, auprès de personnes tel que toi. Je ne te demande pas d’être compatissant, j’espère juste un jour revoir le monde comme tu le vois aujourd’hui. Mais mes blessures ne cicatrisent pas vite et ma haine à tendance à me contrôler, dés fois même plus que cette soif de pouvoirs magiques qui me ronge jour après jour. Sur ce qui est de notre défaite lors de la destruction de Quel’thalas, je ne suis pas d'accord avec toi, et pour ne pas t’offensé, je garderai mon opinion pour moi-même. Je suis loin d’être une personne convenable, mais je t’aiderai au mieux pour qu’un jour notre peuple récupère son héritage perdu et sa place dans ce monde. Et lorsque ma tache, ici sera accomplie, je retournerai auprès de mon prince.

Et vous monsieur le donneur de leçon, qui êtes vous?

il s’approche délicatement de l’oreille de Syldur et lui chuchote.

Serait-t-il possible de demander à se qui nous regarde de bien vouloir nous rejoindre. Leurs regards tapis dans l’ombre commencent m’énerver.

Aux paroles de l'étranger, Syldur se détend peu à peu, jusqu'à sourire à sa dernière remarque sur les "observateurs"...

... Nous partageons tous ta douleur, Sifrus. Oui, le poids de nos morts, le souvenir de notre patrie perdue nous pèse... Mais c'est aussi ce qui nous donne encore la force de nous battre en ces heures si sombres. La soif de magie... Je la connais également... Quatre ans qu'elle me déssèche peu à peu, drainant mes forces et ma vie. Mais nous trouverons un moyen de l'étancher, voir même de la guérir. Même si cela signifie aller chercher nous-même l'eau des Puits de Lune de nos orgueilleux cousins Kaldorei.

Syldur pose une main sur l'épaule de Armitryon.

Tu as choisi une voie sombre, mon ami, en choisissant la voie de ton seigneur Kael'Thas... Je ne te juge pas, la souffrance des Quel'Dorei est grande... Mais ne laisse pas ton envie de vengeance emporter ce qui faisait de toi un sujet de Quel'Thalas.

Puis il tire une chaise et la propose à Armitryon.

Assieds-toi mon ami. Je vais te servir un vin de Silvermoon, une de ces rares dernières cuvées...

Puis il se tourne vers les autres personne de la salles.

Alors, ne venez-vous pas accueillir un frère, vous autres?

A la vue du vin de Silvermoon, Armitryon ne put s’empêcher de sourire. Cela faisait longtemps que rien d’autre que les flammes damnées de son âme ne réchauffé son cœur.
Il empoigna le verre quelque peu maladroitement, le porta à ces lèches et avala une gorgée de ce doux nectar. Puis il se mit à réfléchir et dit.

Au faite l’ami, pendant que j’y pense je ne sais toujours pas ton nom…

Sifrus Ragecoeur ,
Elle a murmuré le nom pour elle-même d’une voix inaudible ,
Se souvenir de chacun , murmure-t-elle encore , il faut que je me souvienne

A l’évocation du prince elle sursaute , son capuchon glisse révélant sa blondeur , elle se lève et s’approche .

Rejoindre le prince , le prince Kael’Thas….Il est vivant ?

Elle a posé la question brutalement d’une voix tremblante , sans même prendre le temps de saluer l’étranger

Armitryon encore en train d’admiré son verre et de pensé, sursaute en entendant la voix de la jeune femme, qui le rappelle subitement de ces songes. Dans une manœuvre maladroit, il tente de contrôlé son bras, mais rien y fait, quelques goûtes s’échappent et viennent tacher son manteau. Subitement son instinct reprend le dessus, laissant place à sa colère, il fronce les sourcils, serre les dents dans un grincement fort désagréable et le verre qu’il continu de serré, de plus en plus fort, de sa main droite commence à bouillonner, laissant s’échappé de la vapeur. Puis dans son élan meurtrier, il leve la tête brusquement, prêt à bondir sur la personne fautive. Mais brutalement, lorsqu’il aperçoit la jeune femme, ces yeux s’écarquillent, comme s’il avait vu un fantôme, il s’arrête promptement et reprend son calme. Puis il répond d’un air désappointé, tout en baissant la tête.

Je ne sais pas si lui et les miens sont encore en vies. Mais je peux vous dire, que lorsque la bataille, en Northrend, fut perdu, j’ai recherché son corps sans relâche, mais je ne l’ai pas trouvé. Nous somme parti en guerre beaucoup plus nombreux, que le nombres de cadavres, que j’ai recensé après m’être réveillé. Celui d’Illidan aussi n’était plus là, c’est ce qui me fait le plus peur…

Puis en relevant la tête, il esquisse un léger sourire, comme pour redonné espoir à cette femme tremblante se trouvant devant lui et reprend.

Vous le retrouverai le moment venu, votre ami d’enfance…

Sortant de la pénombre, vêtue d'une robe de tissu noir et rouge assemblée en fil d'or, Svetlana esquisse un sourire perceptible dans l'ombre de la capuche qui recouvre son visage.

Comme c'est interressant *le ton est presque moqueur*, il serait dommage de finir par énerver notre si impressionant hôte.

Alors, monsieur Ragecoeur, on aurait flirter avec la puissance brutte des arcannes ? Inutile de nier, je le sens tellement votre soif de magie est forte ... misérable faiblesse qui vous aveugle tout autant que ce cher Syldur.

Elle désigne le sus-mentionné à l'aide de son bâton.

Néanmoins, on dirait bien que j'ai trouvé un eclairé comprenant que tout Humain a un peu d'un Garithos en lui ... nos frères et soeurs ici présent ne partagent pas vraiment cet avi malheureusement.

Aucun Humain n'aura jamais ma confiance. Ce sont pour la plusparts des orgueilleux et des profiteurs, je maudis nos ancêtre de leur avoir enseigné les rudiments de magie ... ils nous doivent beaucoup, mais s'en contrefichent éperdument quand ils ne finissent pas par tout bonnement se tourner du côté du Fléaux tel ce misérable Arthas.

Enfin, pour votre gouverne, je me prénomme Svetlana Zaborac.

Si par ailleur nous venions à discuter en présence de soupçonnés Inquisiteurs de la Lumière, merci de faire attention et de m'appeler par mon nom d'emprunt, Prêtresse Windwalker.

Syldur jette un regard sombre à Svetlana, puis un autre méprisant au bâton avec lequel elle le désigne.

Bon... L'heure n'est pas au débat pour savoir si les Humains sont fiables ou non, mais vous devrez reconnaître que sans eux, nos forêts auraient bien plus souffert qu'elles ne l'ont fait pendant la Deuxième Guerre. Et ils seront des alliés toujours plus fiables que ces maudits Elfes de la Nuit qui nous haïssent toujours comme si nous étions les frères et soeurs d'Azshara. Et pour votre gouverne Svetlana, il y a également un certain nombre de Hauts Elfes dans les rangs des Damnés, à l'instar des Humains. Un des bras droits de Kel'Thuzad serait même haut elfe... Et je ne parle pas du Traître qui aurait vendu Quel'Thalas au Fléau.

Syldur pousse un long soupire, et enchaîne avant que Svetlana puisse répondre quoi que ce soit sur les Kaldorei, se tournant de nouveau vers l'Elfe de Sang assis.

Je m'excuse d'avoir omis de me présenter. Mon nom est Syldur. Syldur Windrunner. Ancien apprenti de l'Académie de Silvermoon et de la Citadelle Violette de Dalaran, ancien défenseur de Theramore et éternel serviteur de Jaina Proudmoore et Quel'Thalas, pour vous servir.

Syldur se courbe gracieusement.

Néanmoins, Svetlana et Armitryon... N'oubliez pas les enseignements des anciennes écoles de magie, hélas aujourd'hui disparue: la magie de la Légion est puissante... mais terriblement corruptrice... Elle a transformé

Clemanas rit à la remarque de Svetlana et fait remarquer d'une voix rauque:
À t'entendre Svetlana , nos seuls alliés sont les nains.
Quant à ton avis sur les humains , il t'est propre.

Clemanas se tourne vers le nouveau-venu

Je me présente , Clemanas Solanaar , descendant Sunstrider , la plupart des humains me connaissent sous mon nom traduit en commun , Summerdrake.

Clemanas s'incline devant Armitryon

Hum…. Que de monde, ma foi, vous êtes vraiment un groupe fort intéressant, le vieux n’avait pas tord. De plus il y a bien trop longtemps que je suis seul et retrouvé autant de personnes de ma race m’emplit de joie.

Il jette un regarde léger regard sur Svetlana, le sourire aux lèvres.

Voila une personne fort désagréable à la langue bien pendue, hum…je pense que l’on va bien s’entendre. Mais sachez que je n’ai aucune faiblesse et je n’oublierai pas non plus de vous appeler prêtresse Windwalker.

Puis il se retourne vers Syldur.

Votre opinion sur nos cousins et aussi la mienne, rien qu’à l’idée de devoir me ressourcer dans leurs puit, tel un mendiant, mes flammes s’embrasent dans mon corps. Pour moi ils sont à mettre dans le même panier que ces êtres inférieurs d’humains.



Il se lève fait face à Clemanas et penche la tête en signe de respect.

Solanaar… solanaar, voilà un nom qui met bien familier…mes péripéties en Northrend mon quelque peu jouer des tours, car ma mémoire n’est plus très fiable…hum…Caerius Solanaar !!! Mais comment ai-je pu oublié ça, je vois tu es son fils et à juste titre tu es celui à qui je doit le plus de respect, de plus ta vision met forte agréable, tu as les même attitude que mon fils…

Puis s’adressant à tout le monde.

La solitude m’a rongé, encore bien plus que ma soif de vengeance ou de pouvoir. Bien que ces deux la me persécutent toujours autant. Mon caractère peut parfois être fort bien désagréable, surtout quand je commence à être en manque ou quand l’euphorie des combat me gagne, j’espère juste que vous serez faire avec. Aussi non il ne me restera plus qu’à vous tué *avec son sourire de sadique*. En tout cas je suis heureux d’être parmi vous, et j’espère que nos rêves se réaliserons et je ferais tout pour... oui je ferais tout, même ce qui est interdit pas nos mœurs. Mais ne vous inquiété pas, pour ce genre de chose, j’aime bien être seul, et si il devait arriver quelque chose, je serais le seul à blâmer. Pour l’heure je vais devoir prendre congé de vous, une affaire importante m’attend et je ne puis faire attendre ces personnes.

Il se lève, salut ces nouveau alliers, remet sa capuche et quitte la taverne dans la nuit noire.

Kanzermav sur le pas de la port de l'auberge croise un individu d'apparence sinistre mais c'est plus la joie qu'il l'étraint en réalité

Bonjour...Tout le monde ! Cela faisait un ptit bout de temps que j'avais pas vu certain je trouve hé hé !
J'ai fais un voyage à Kul'Tiras ou j'ai transmis mon rapport sur les Elfes de la Nuit qui a été grandement apprecié puis j'en ai profité pour acheter du poisson, il faut bien vivre !

C'est quoi ces têtes lugubres de certains, c'est l'individu qui sortait qui vous a fait cette effet ?

Syldur esquisse un sourire en coin à KanzerMav, puis pousse un soupir.

... pour tout te résumer, mon cher KanzerMav, je trouvais déjà qu'une Svetlana c'était fatiguant... mais maintenant...

... Enfin, on dirait qu'on a retrouver un suivant du Prince Kael, désireux de rebâtir notre royaume, lui aussi...

Mais j'ai peur que le désespoir, la solitude et la magie démoniaque n'ait commencé à consumer son esprit...

Quoiqu'il en soit, un frère reste un frère.

Au résumer de Syldur Kanzer se tord de rire

Mouhahaha ! on est pas sortie de la Taverne, au pire ils nous feront des ptits Quel'Dorei


Un noble..bien bien j'apprecie. Qui plus est un frère, il est logique que on l'acceuille quelque soit ses idéaux.

Plein de Svetlana ?
Nooooooon ....
Il est bien étrange ... il connaissait mon père

Il connait ta famille..encore un esprit derangé ...
Il n'y a que Anariel saine d'esprit ici ou quoi...