Un Légat tout cassé

Tard dans la nuit, à Quel'Drassil, ils étaient de retour. Anariël, Eihlana, Tarae et Zaphira portant un corps inanimé avec précaution, directement à l'hôpital. Syny et Sérindë furent réveillée en urgence ... enfin, pour autant qu'elles étaient en train de dormir ( ).

L'île pu constater que l'hôpital fût animé encore de longues heures. Le lendemain, le rapport de la Médecin en chef de l'île était établit.

Il contenait les informations suivantes:

- Une grande partie de la chair du Légat avait été mise à vif un moment, les soins magique d'Anariël avaient permis de reformer la peau.

- Plusieurs membres portaient des traces de découpe, on aurait dit qu'ils avaient été sectionné et qu'ils avaient repoussé ... comme pour un Troll.

- Le sang du Légat contenait quantité de substances assimilées à des poisons et drogue. Des résidus de Felarcanne pure y circulaient. Une purge à la fois magique et classique a été nécessaire.

- Plusieurs os sont brisé sans pour autant qu'il y'ai des marques de coups. Comme-ci le squelette avait explosé de l'intérieur. Le corps s'en remettra naturellement avec le temps.

- Une puce métallique était logée à la base du cou. Un travail de chirurgie minutieux, aidé du pouvoir de Zaphira et des connaissances technologique d'Eihlana a permi de la retirer sans abimer le cortex cérébral auquel elle était connectée. Cet élément, apparament technologie de la Légion, sera soumis à une étude ultérieure.

- Le Légat est actuellement dans le coma. Ses signes vitaux sont stables, mais nul ne sait quand il se réveillera ... voir même, s'il se réveillera.

- En complément, pour autant que le Légat se réveille. Rien ne dit que sa santé mental ne sera pas affectée. En plus des risques lié à un coma prolongé, il est a noter que les souffrances subie on pu atteindre des points tel qu'elles l'ont rendu fou ou totalement apathique.

Malgré la guerre et l’hôpital qui ne désemplissait pas , aussi souvent qu’elle le pouvait elle se rendait au chevet de Kaltezar
Elle guettait un signe d’espoir .
Un signe de conscience sur le visage trop calme .
Baignait de lumière le corps endolori,
Puis repartait vers ses devoirs
jetant un regard vers le soleil
prière muette à la lumière et à la vie