Les Fils de Quel'Thalas
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[Récit] Nualar, rapport de mission par son biographe

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Message  Nualar Aube-de-Feu Sam 20 Juin 2015 - 16:10

HRP : J'ai demandé hier si en tant que recrue je pouvais poster un texte. Vu que c'était possible, voici comme promis le dit texte. Je ne sais pas si c'est ici qu'on poste ce genre de récit, mais voici le résumé de la soirée du vendredi 19 juin 2015 selon le biographe officiel et mystérieux de Nualar. N'hésitez pas à le déplacer dans la bonne section.  Very Happy


Une opération au cœur de la Jungle




Votre humble serviteur reprend sa plume et ses notes pour vous narrer les aventures rocambolesques de notre magistere favori. Je sais, bon nombre d'entre-vous pourrait se demander où j'étais lors de l'opération, surtout lorsque  vous vous apercevrez de vos yeux ébahis la précision qui m'habite quant à la description des événements.

Le Réprouvé répondant au doux et sympathique nom de Docteur Hemwick Plaguewheel informa les joyeux drilles de la Compagnie des Fils de Quel'Thalas que la seconde relique se situait dans une sorte de réseau cavernicole, ma foi fort lugubre, dans la jungle de Gorgrond. Il précisa avec un plaisir malsain que ce réseau servait en quelque sort de latrines pour ogre. Vous auriez dû voir sa manière si volubile de sourire, cette façon presque malsaine de se toucher le torse. Mon Maître, qui de toute évidence était habitée d'une bonne humeur contagieuse durant cette soirée, fit savoir son dégoût à la cantonade. En effet, cela faisait quelques années que Nualar n'avait pas mis les pieds dans la boue, la crasse et les excréments. Il faut dire, que lors de la dernière guerre à laquelle il participa, ni le Fléau mort-vivant, ni même les Sha de la Pandarie laissaient derrière eux étrons et autres déjections peu ragoûtantes. Quoiqu'il en soit, mon ami semblait prêt à tout pour pouvoir étudier une de ces fameuses stèles Ogre de plus près ainsi que sa magie et sa consistance. Il préféra laisser son dégoût naturel pour les excréments de côté, et partit hardiment avec notre bon corps d'élite vers la jungle moite et chaude de Gorgrond.

A leur arrivée sur les lieux, la chaleur semblait accablante, étouffante. Votre serviteur suait sang et eau, même si personne ne l'a vu. De gigantesques arbres se répandaient à perte de vue, alors qu'un sentier sinueux au milieu de ce bois tropical lugubre s'ouvrait à nous. La vaillante Sergent Véloce, que tout le monde connaît pour son courage exemplaire, fit avancer la troupe de pieds nickelés au travers de ce milieu ma foi, fort hostile. L'humeur du magistère ne s'arrangeait point au fur et à mesure que les arbres défilaient, que les kilomètres s’égrainaient telles les secondes sur une horloge. Étrangement, personne, même notre bon Sergent, n'osa lui faire une quelconque remarque. Sa chère fille, remarqua bien entendu l'état d'esprit quelque peu bougon de son père, mais ne fit rien remarquer, préférant sûrement la compagnie  plus attrayante de Neldyran, l'archer d'élite.

Lorsque les premières ruines apparurent, un Orc fort aimable, le visage peinturluré d'un joli motif représentant un crâne tout aussi souriant qu'Aile-de-Mort, accueillit notre contingent. Comme tous les Orcs, je pense qu'il était vert, et semblait mettre du cœur à l'ouvrage dans ses activités. Il tenait un marteau et chantonnait au rythme des coups de son outil, heureux de son sort. Il clouait un de ses amis, mort au demeurant, à un arbre. Cette scène bucolique arracha une grimace de dégoût à notre Magistere. Quoique le spectacle fut fort morbide, l'Orc paraissait d'humeur joyeuse et courtoise. Comme à son habitude, le Sergent Véloce prit la parole, en grande négociatrice, talent d'ailleurs dont elle fera usage sans retenue tout au long de la soirée ! L'étrange créature nous indiqua après moult explications d'ordre religieux que la « Mère » nous attendait.

Après que l'étrange ère nous ait indiqué la route, la compagnie continua à s'enfoncer dans les mystérieuses ruines qui se dessinaient tout autour d'elle. Nualar, en Magistere prévoyant, concentra son énergie, prêt à faire feu de tout bois si j'ose l'expression. Alors que sa fille et Neldyran avaient été placés à l'arrière pour couvrir la marche, le Sergent plaça ses troupes intelligemment pour balayer tous les côtés. Je suis encore ému devant tant de capacités militaires.

Bientôt nous arrivâmes dans un lieu d'une excentricité à toute épreuve. En effet, au milieu de ces ruines antiques et peut être millénaires, trônait une énorme statue d'araignée. A ses pattes, une multitude d'êtres serviles se pavanaient, priaient et psalmodiaient des mots aussi primitifs qu'inutiles de répéter. Au vu de leur peau grisâtre, de leur taille râblée et leur constitution tordue, nous vîmes que nous avions affaire à des êtres serviles dont la dévotion à la Mère n'avait d'égale que leur cruauté.

Après un court débat, le Sergent, toujours aussi Véloce dans ses décisions, ordonna d'éliminer la menace. C'est là que mon maître, enfin, mon ami, invoqua un sort de destruction massive en direction d'un des groupes. Sa magie n'eut pas le temps de partir, puisqu'une petite araignée fondit sur lui pour planter ses mandibules acérées dans son cou. Seule de la fumée sortit de ses mains, prit de faibles douleurs. Naturellement, n'allez pas lui répéter ce triste épisode de sa vie, il pourrait se mettre dans une noire colère. Quant à moi, et bien, en tant que biographe officielle, ma mission n'est elle pas de tout consigner, afin que l'information soit la plus exacte possible ?

Quoiqu'il en soit, les Fils de Quel'thalas, rompus aux combats en milieux hostiles, firent feu, tirant flèches pour les uns, cartouches et grenades pour les autres, et magie noire pour notre bon Docteur. Les projectiles pleuvaient sur les dévots démoniaques de la Déesse Araignée, les exterminant petit à petit. Mais un terrible cri retentit alors, glaçant l'échine de votre serviteur. D'autres blafards, car c'est ainsi qu'on les nomme, surgirent d'un peu partout. Elerinia et Neldyran de l'arrière, assassinèrent bon nombre d'ennemis de leurs flèches acérées. C'est alors que les blafards furent au contact, obligeant notre première ligne menée par le Sergent à se battre enfin. Nous tairons le fait que cette échauffourée fut pour nos guerriers un échec cuisant, la seconde ligne se montrant étrangement plus efficace. Nualar, encore meurtri dans son ego par l'échec ridicule dont il fut la triste victime quelques secondes plus tôt, fit fondre l'araignée qui l'avait mordu, dans un magma de chair et de viscères malodorantes. Il dispensa d'autres boules de feu sur les serviteurs de la Mère, ceux-ci faisant mouche cette fois-ci à chaque fois. Notre première ligne de guerrier, se reprit. Les lames fusèrent en tout sens, des membres coupées de blafards volaient un peu partout autour de nous. Bientôt l'ennemi fut réduit à peau de chagrin. Pour ma part, bien que je fus invisible tout au long du combat, je participai activement à l'effort de guerre plantant ma plume acérée dans un œil vitreux de blafard. Celui-ci poussa un cri d'effroi, rendant l'expression populaire « la plume est plus forte que l'épée » jamais aussi véridique. Hum hum je m'égare.

Nous continuâmes notre route,  poussant les corps de nos victimes, revigorés par cette bataille remportée. Le joyeux Orc dansant adorant le Marteau et les clous se trouvait à nouveau devant nous.  Il affirmait avec son allégresse habituelle, que la Mère semblait contente de tous les sacrifices que nous lui avions offert. Sceptiques, mais néanmoins satisfaits, nous suivîmes la route indiquée par l'être vert grimaçant. Après nous être improvisé escaladeurs professionnels, une caverne aussi béante qu'une gueule de Dragon, se dressait devant nous. L'antre de la Mère se trouvait enfin là, la stèle ogre à la fois proche et loin de nos petites mains expertes.

Véloce envoya un de ses soldats en reconnaissance. Une dame ma foi forte agile, mais dépourvue de formes répondant au doux nom de Cenaya. Je ne pouvais qu'approuver cette stratégie, car même si le courage m'indiquait de foncer, je préférais naturellement attendre les ordres de notre bon Sergent. L'attente fut longue, très longue, la chaleur accablante, surnaturelle. La petite troupe que nous sommes, attendait devant l'entrée, grillant au soleil, la terre aride sous nos pieds. Tout demeurait sec, autant que peut l'être une tartine laissée trop longtemps à l'air libre. La terre craquelée sous nos pieds ne semblait pas avoir vu d'eau depuis des siècles. Tout était étouffant, moite, et cette affreuse caverne devant nous exhalait des odeurs d'excréments et de souillure. Seul notre bon Docteur ne semblait pas du tout éprouvé par tout cela. D'ailleurs comment un non mort pourrait-il avoir chaud ? On se le demande ! Hum je me perds à nouveau, veuillez m'en excuser.

Ces considérations faites, nous vîmes enfin, et ce avec un grand plaisir, le retour de l'éclaireuse Cenaya. Heureusement entière, elle nous indiqua avec emphase ce qu'elle avait observé à l'intérieur de cette gueule béante.

Un bon nombre de blafards demeuraient là, selon ses dires. Des cocons de soie d'araignée égayaient le tout, laissant apparaître par-ci par-là quelques bouts séchés de corps digérés. Une fumée surnaturelle se maintenait un peu partout, en suspension, léchant les corps et les êtres habitant cette grotte sinistre. Description faite, le Sergent continua à nous montrer ses grands talents de négociatrice. Elle demanda à mon cher ami et à tous ceux qui possédaient les outils nécessaires, d'enfumer le lieu, afin de faire sortir les blafards comme des abeilles de leur ruche. Nualar se montra circonspect quant à ce plan, mais s’exécuta de bonnes grâces, se rangeant comme à l'accoutumée à l'avis de la majorité... De plus, sa fille semblant tout à fait en accord avec ce plan, il ne se fit pas prier une seconde de plus pour incanter à nouveau Flammes et fumée afin de balayer l'endroit de toutes présences hostiles. La fumée sortit bientôt par toutes les entrées de ce lieu sordide. Tels des Geysers, les blafards fuiyaient, paniqués, nous laissant ainsi la voie libre. C'est ainsi que nous nous enfonçâmes non sans crainte dans la gueule de la Mère.

L'intérieur de la caverne ressemblait à s'y méprendre à d'anciennes ruines d'architecture Ogre. Tout semblait vieux, décrépis, et en quelques endroits, nous pouvions apercevoir des morceaux de roches fendues, indiquant que le lieu tenait plus par miracle qu'autre chose. Alors que le ciel menaçait de nous tomber sur la tête, au fond de la fosse, se trouvait une forme, entourée de volutes noirâtres, gigantesque et terrifiante. Bientôt la silhouette se déplia, montrant enfin la « Mère » dans toute sa splendeur. Elle ressemblait à une araignée de plusieurs pieds de haut, huit pattes volumineuses et velues touchant le sol dans un bruit de succion fort désagréable à l'oreille de votre serviteur. L'abdomen de la chose était surmontée d'un corps d'Orc ou d'ogre, j'avoue que la peur me fit oublier quelque peu son « visage » avenant.

Le Sergent, toujours aussi prompt au courage, s'avança faisant jouer de sa diplomatie habituelle. Elle partit avec tous les guerriers des Fils dont j'ai omis le nom, j'en suis fort désolé, ma présence étant nouvelle dans vos rangs ! Elle engagea donc une sorte de dialogue de sourd, demandant à la  chose immonde et sans âge devant eux de se rendre, et de venir rejoindre le « Père ». Cette histoire de famille, bien que légèrement tordue, aurait pu avoir un tournant plus joyeux du genre : « le père et la mère se marièrent et eurent beaucoup d'enfants ». Mais vous connaissez ce genre de contes, tout ceci n'est que pour les enfants. La réalité reste tout autre et surtout bien plus macabre. La « Mère » refusa les injonctions du Sergent, qui prise de colère, ou pressée d'en finir, ordonna d'exterminer une bonne fois pour toute la créature.

Le combat débuta dans la sueur et le sang. La première ligne frappa vivement les pattes du monstre, alors que nos tireurs d'élite criblaient de balles et de flèches le corps déformé de la chose sans âge. Chaque coup qui fit mouche arracha un cri de douleur à la Mère, répandant son sang aux quatre coins des ruines. Mais chaque coup et chaque cri faisaient également vibrer les parois rocheuses et instables des ruines, menaçant à chaque seconde de s'effondrer sur nos pauvres têtes. Lorsque l'Esprit de la Jungle répliqua, elle envoya valdinguer dans les airs nos fiers guerriers. Ses jolies petites pattes frappaient tels des coups de butoir, griffaient l'air, virevoltaient dans une danse qui je vous assure me donne encore des démangeaisons ! Mon Maître refusa de tirer quelconque sortilège, de peur de blesser nos sœurs d'Arme. Il invoqua, se prépara néanmoins, attendant le moment propice pour comme j'aime à le dire, dispenser boules de feu et mort sur nos ennemis. Elerinia, la douce fille de mon ami, émit une remarque fort judicieuse : et si les blafards que nous avions expulsés quelques minutes plus tôt nous prenaient par l'arrière, en étau...  Ce fut malheureusement chose faite. Quelques unes de ces viles créatures surgirent devant Elerinia, Neldyran, le bon Docteur, une tireuse fort charmante dont j'ai oublié le nom, j'en suis profondément meurtri, et devant mon bon Magistere. Ce dernier, ayant préparé ses sortilèges depuis quelques secondes déjà, envoya un projectile léché de flamme d'une précision absolue dans la sale trogne d'une de ces créatures, qui fondit comme neige au Soleil. Les chasseurs à l'arrière essayaient de se débarrasser de leurs adversaires respectifs, Elerinia se prenant au passage un morceau de roche sur l'épaule. Notre bon Docteur tenta d'éliminer un blafard, mais rata par deux fois son coup. En effet, la créature démontra une agilité étonnante, esquivant le sortilège démoniaque du Réprouvé. Alors que la bataille faisait rage, la caverne émettait de plus en plus des bruits de craquements terrifiants, indiquant son écroulement prochain. Une pierre tomba de plein fouet sur le corps déjà décharné du Docteur Plaguewheel, ce dernier répandant un amas de tripes, de tubes et d'ichor sur le sol. Mais comme je l'affirme souvent, on ne peut tuer ce qui est déjà sec et mort, et comme vous le verrez plus tard, notre Réprouvé favori s'en sortira avec un léger désordre intestinal. Hum...

Quoiqu'il en soit l'assaut se poursuivait avec véhémence. Mon ami élimina une fois de plus avec une boule de feu d'un rouge vivace, le blafard qui tentait de dévorer les entrailles de l'Apothicaire, tandis que les forestiers à l'arrière se débarrassait des dernières poches de résistance.

Pendant ce temps là, la créature simiesque que l'on nommait Mère, transforma ses membres en arbre. Oui oui, mes chers lecteurs, je ne suis pas pris de folie passagère, la chose transforma bel et bien ses membres en arbre. Au vu de la nature élémentaire de la chose, il n'en n'est rien d'étonnant que cet esprit prenne la forme de l'environnement qui l'entoure. Quoiqu'il en soit, nos farouches guerriers tuèrent la Mère qui poussa un râle d'agonie poignant avant de rendre son dernier soupir. Il me semble que c'est encore Cenaya qui réussit pendant le combat à récupérer le mystérieux artefact.

Véloce demanda gentiment à mon ami de faire effondrer ce lieu de perdition. Ce dernier intima à Neldyran de ramasser les restes éparpillés du bon Docteur et de prendre le portail de téléportation avec les autres. Une fois cela fait, le Magistere invoqua un sort de feu ressemblant à s'y méprendre à un énorme météore, tombé d'on ne sait où. La caverne gronda, comme si elle était elle-même un monstre, s'effondrant petit à petit, laissant le temps à Nualar de fuir avec l'arrière garde.

La mission fut un succès retentissant et j'avoue avec fierté que je suis content d'avoir participé activement à sa réussite ! Le bon Docteur fut rapiécé par un expert en anatomie Réprouvé, tandis que l'épaule encore luxée de la fille de Nualar était prise en charge par la chamane Orc Shidra. De son côté, Nualar, encore crotté par les diverses salissures de la caverne, entreprit d'isoler magiquement de toute influence extérieure la relique. Celle-ci contient en effet l'âme de la Mère que nous pouvons voir se dessiner d'ombres et de ténèbres, se régénérant petit à petit. Pour contrer ceci, le magistere plaça donc son rituel, empêchant ainsi la chose de se nourrir de la magie environnante. Il en profita également pour placer une balise d'analyse juste à côté afin d’enregistrer et d'étudier toutes les activités de l'artefact en vue d'une étude poussée.

C'est ainsi que je clôture en grande pompe le récit formidable de nos aventures féeriques et merveilleuses au pays de la Jungle, chacun retournant vaquer à ses occupations dans l'attente de notre prochaine mission qui je l'espère s’avérera aussi épique que celle-ci !

Votre Serviteur et dévoué conteur


P.S : je suis désolé d'avoir omis les noms de certains de nos braves combattants, que ceux-ci n'hésitent pas à s'exprimer avec véhémence face à mon oubli, je ne manquerai pas de corriger ces petites fautes de goût.

Nualar Aube-de-Feu
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Message  Célestine Nalandris Dim 21 Juin 2015 - 9:24

J'aime bien le ton du récit, ça change des rapports habituels. Bravo (et merci) à toi.

Célestine Nalandris
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Message  Falrhen Dim 21 Juin 2015 - 20:33

On a donc un Jaskier furtif qui se cache parmi nous? ^^ car le style me fait penser aux rapports de mission de the witcher. Un texte conséquent mais agreable à lire et bien écrit.
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Message  Nualar Aube-de-Feu Dim 21 Juin 2015 - 21:59

C'est en effet une inspiration Falrhen. J'adore Andrzej Sapkowski et sa saga du Sorceleur Very Happy

Merci pour les retours Smile viking

Nualar Aube-de-Feu
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Message  Neldyran Dim 21 Juin 2015 - 22:01

Woaw ça c'est du résumé, bravo Very Happy
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